mardi 28 mars 2017

En mode ralenti...

« Des mots, des pensées » va être en mode ralenti pendant quelques temps. Je continuerai à publier mais moins souvent et sûrement irrégulièrement. Je continuerai bien sûr à aller vous visiter, car, comme ce petit moineau, je ne vous quitte pas des yeux et je ne serai jamais bien loin... (sourire)

samedi 25 mars 2017

Prendre le temps de réfléchir

Il est important de savoir prendre du recul d'avec certains événements qui nous arrivent, pour savoir ensuite ce que nous devons en faire. La précipitation n'est pas bonne conseillère car nous sommes bien souvent sur le coup de l'émotion ou parfois aussi de l'étonnement. Nous ne devons rien brusquer, ne rien décider trop vite. Nous devons prendre le temps de réfléchir sur ce qui s'est passé, nous devons laisser mûrir et savoir attendre. Et en principe, au bout de quelques jours, voire quelques semaines, nous saurons ce que nous allons faire de tout cela et nous pourrons alors prendre la décision que nous pensons juste. Cette écoute toute personnelle que nous nous serons octroyée, nous fera également apprécier de ne pas nous être laissé influencer par notre entourage (qui parfois pense bien faire, mais qui ne peut pas ressentir les choses à notre place).

Sur ces sages paroles, beau week-end à vous ! (sourire)

Un petit bout de chez moi... :-)

dimanche 19 mars 2017

mercredi 15 mars 2017

Qu'a voulu dire cette personne ?

Mélanie assiste à une soirée avec des amis, elle est détendue, tranquille, zen. Mais à un moment donné, suite à une réflexion qu'elle fait concernant des vertiges qu'elle ressent par moments, une personne lui délivre un propos troublant. Sa quiétude s'effondre alors, et les questionnements et doutes l'assaillent. - Qu'a voulu dire cette personne ? Qu'a-t-elle ressenti ? Pourquoi pense-t-elle cela ? Et après les questions, l'angoisse apparaît. - Et si elle avait raison ? Et si ce qu'elle a perçu était vraiment réel ? Et évidemment le mental se régale, il jubile, et il en rajoute même. Impossible de le faire taire. La meilleure solution pour le calmer, pour désamorcer cette inquiétude qui monte en flèche, est de parler avec cette personne, discuter de ce qu'elle a dit, lui demander pourquoi elle a dit cela, d'où elle le tient, lui parler de ce qu'elle a ressenti. Mélanie ne connait pas personnellement cette personne mais certains de ses amis la connaissent et elle sait qu'elle n'est pas une personne malveillante, elle n'a donc pas voulu lui faire du mal, c'est peut-être au contraire pour son bien qu'elle lui a dit cela. Mais une personne a-t-elle le droit de révéler ce qu'elle croit être une vérité à une autre personne si celle-ci ne lui a rien demandé ? même si c'est dans un but bienveillant ? N'est-ce pas l'inquiéter peut-être inutilement ?...

dimanche 12 mars 2017

mercredi 8 mars 2017

Il me regarde en souriant

Hier, sur le site  Esprit science métaphysiques, j'ai lu l'article suivant : ​ ​Dix signes que nos êtres chers décédés donnent pour nous faire savoir qu’ils sont autour de nous. J'ai reconnu certains signes pour les avoir moi-même perçus à un moment donné, et il m'arrive d'en percevoir encore. Entre autres, la nuit dernière...

Cela se passe dans la cour de la maison où je vivais avec mes parents lorsque j'étais enfant. Il y a une grande fête de famille, les gens sont attablés ou circulent autour des tables pour discuter avec tel ou untel. Moi, je suis en train de regarder une vidéo que me fait voir mon beau-frère sur sa tablette. Le film terminé, ce dernier rejoint sa place. Alors que je m'apprête à faire de même, je sens quelqu'un qui me regarde, je tourne alors la tête et lève les yeux, et je le vois. Il me regarde en souriant. Ses cheveux presque blancs, ses yeux d'un bleu si clair, lui donnent un air doux et bienveillant, ce qu'il était d'ailleurs du temps de son vivant. Je m'avance vers lui, et pour voir si je ne "rêve" pas, je l'embrasse sur la joue. Oui, il est bien là, j'ai ressenti le contact avec sa peau, il n'est pas une illusion. Nous nous éloignons du groupe, qui d'ailleurs ne semble pas le voir, et nous nous dirigeons un peu plus loin, près de la porte qui donne sur la rue. Je lui dis combien je suis heureuse qu'il me rende ainsi si souvent visite, combien cela me fait du bien. Mais je lui dis aussi combien il me manque encore. Soudain, une lumière apparaît, comme un éclair, et je me réveille...

Je ne sais pas pourquoi je rêve si souvent à mon frère en ce moment, il n'y a pourtant pas de date anniversaire. Si, peut-être celle de la mort de mon père, le 13 mars, mais il y a si longtemps... Je me dis qu'il vient peut-être pour me délivrer un message, mais je ne le comprends pas, du moins pas encore, et il reviendra tant que je ne l'aurai pas compris... Peut-être...

 Mon frère et moi, j'avais 12 ans et mon frère 15 ans.

dimanche 5 mars 2017

Filoche et caroline

Ce matin, en allant faire mes courses, j'ai croisé un monsieur qui avait une filoche à la main, une filoche contenant les produits qu'il avait achetés au marché. Et cela m'a rappelé les filoches que ma mère utilisait pour mettre ses courses. La filoche l'accompagnait toujours. Peu encombrante, elle la glissait dans son sac. C'était du temps où les magasins ne donnaient pas de sacs en plastique à tout-va. Et comme maintenant, et c'est tant mieux !, ils n'en donnent plus à nouveau, les filoches vont peut-être revenir à la mode, qui sait ? J'en ai une à la maison, une qui doit dater, je l'avais récupérée lorsque nous avions débarrassé l'appartement de ma mère. Je crois bien que je vais la ressortir, et m'en servir. Celle du monsieur de ce matin était couleur bordeaux, celle que j'ai est couleur bis, à l'époque, il n'y avait pas trente six couleurs. Lorsque je repense à cette époque lointaine, je me souviens aussi des "carolines". Nos mères avaient également toujours dans leurs sacs une caroline, au cas où il se mettrait à pleuvoir. Connaissez-vous les carolines ? Il s'agissait d'une capuche en plastique, que les dames se mettaient sur la tête lorsqu'elles ne voulaient pas que la pluie, ou le vent, les décoiffent et abiment leurs permanentes ou leurs mises en plis. Je revois ma mère avec sa caroline sur la tête. C'était assez joli en fait, même si l'un de mes fils, alors âgé d'une dizaine de mois, s'était mis à pleurer en voyant sa grand-mère avec ce plastique sur la tête... Allez savoir ce qu'il s'était imaginé... (sourire)
Vous rappelez-vous des filoches et des carolines ?